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Lire un document pdf rapidement

samedi 23 février 2008

J'ai toujours un tas de pdf que je dl mais que je ne prend jamais le temps de lire. Ils s'accumulent et j'oublie souvent à quoi ils correspondent, je finis par les mettre dans un dossier d'où ils ne sortiront plus jamais. Pourtant, j'avais une bonne raison de les télécharger, c'est tout de même dommage de ne pas savoir de quoi cela parle...

Je viens de trouver un soft super-pratique dont j'avais entendu parler mais que j'avais jamais testé. Ca s'appelle Theme Reader de la societe australienne MindSystems et ça permet de savoir de quoi parle un txt sans le lire !!!
Je m'explique: imaginons un titre du genre : 149992.pdf. Aucune idée de ce que ça peut bien être. Je le passe dans Theme Reader et voila le résultat :



Parfait !
J'ai les principaux axes et la structure sémantique du document. (J'ai copié/colé le titre dans le haut de l'arborescence). En plus, le soft s'insère dans le clic droit Windows et vous pouvez lancer l'analyse depuis l'explorer.

Le résultat de Themereader se lit dans un soft qui s'appelle Mind Manager (qui est terrible pour bosser sur des gros dossiers, reportages, etc... où s'ammoncellent idées, fichiers, textes...). Il permet de lire le synopsis du pdf par exemple, lorsque vous cliquer sur l'icone de texte à coté d'une des mots, le logiciel vous donne le passage le plus pertinent en surlignant les occurences du mot(voir screenshot ci-dessous).




Le hic, c'est le prix :
Mind manager Single License (install on 2 PCs) 265 € /2 yrs
Theme reader Single License (1 primary PC) €43.18 EUR /2 yrs

Je suis à la recherche d'un équivalent libre mais ça paraît compliqué... Par contre, le site de MindSystems permet de télécharger des versions démo qui durent 21 jours pour tester vraiment.


Dans le style, il existe également des petits softs comme Dico qui vous permet d'afficher le nombre d'occurence d'un mot dans un texte, pratique pour l'analyse lexicale et pour extraire un sens pas toujours évident d'un discours (voir cet exemple). Egalement le logiciel Contextes qui permet, lui, d'isoler un mot tout en le visualisant dans sa phrase d'origine.
Ces deux softs sont développé par Jean Veronis. (Source : journalistiques.fr)


Le problème de ces petits softs sont qu'ils ne traitent que le texte brut. Vous pouvez donc convertir vos pdf, html, doc, etc... en texte brut (.txt) grâce au trés simple Text Minig Tool.
Le site pdftextonline.com est trés efficace et permet d'extraire à partir de trés nombreuses langues et fonts le texte brut d'un pdf.

Un exemple de résultat de Dico du même pdf converti par le site pdftextonline.com

Forme Fréquence
INFORMATION 124
TECHNOLOGIE 117
EXEMPLE 102
SOCIETE 97
INFORMATIONS 95
INTERNET 93
TECHNOLOGIES 92
CONTENUS 91
IDENTITÃ 91
POURRAIT 83
WEB 83
SEAUX 82
SYSTEME 81
HTTP 80
VOIR 80
2006 77
DROIT 76
NUMERIQUE 76
RFID 74
VIE 74
SEAU 72
LIBERTE 71
INFORMATIQUE 60
RADIO 59
MONDE 57
CALCUL 56
POURRAIENT 56
COMMUNICATION 54
DROITS 53
COM 50
GENS 50
PERMETTRE 50

Geolocalisation et telephone mobile

mercredi 20 février 2008

Je n'avais pas eu le temps de finir mon article sur la téléphonie mobile. J'y met donc un petit point d'orgue avec un résumé des techno qui permettent la geolocalisation d'un cellulaire.

Mais tout d'abord une petite précision :

Le GSM , Global System for Mobile Communications, est la norme numérique pour la téléphonie mobile. Cette norme utilise la gamme de fréquences des 900 MHz. Un dérivé du GSM, le DCS, Digital Communication System, utilise la gamme des 1800 MHz.

C'est la carte SIM qui contient le numéro de l'abonné, ainsi que diverses informations lui appartenant (SMS, carnet d'adresse). L'IMEI (International Mobile Equipment Identity) est un code unique composé de 15 chiffres qui identifie le portable. Ce numero peut être obtenu en tapant *#06# sur le portable. Il peut servir pour bloquer le téléphone dans le cas d'un vol par exemple. Lorsque le portable se connecte à un relais, il envoie son IMEI, puis la carte SIM s'identifie auprès de ce même relais.

D'aprés : http://reseau.echelon.free.fr/reseau.echelon/geolocalisation.htm

Je vais aller vite car il existe beaucoup de post clairs et bien fait sur ce sujet. Je vous invite à aller voir cet article issu du site de l'Ecole Sup d'Informatique.

Le style journalistique aujourd'hui

jeudi 14 février 2008

S'il est bien un sujet dont on entend peut parler dans le débat public autour des médias, c'est bien l'écriture. Enjeux de pouvoir, réseaux d'influence, connivence, muselage, la liste pourrait être longue des travers que présente actuellement le journalisme en France. Dans ce lot politico-médiatique, on en oublie souvent de parler de l'écriture journalistique elle-même qui, disons-le, est également bien mal en point. Entendons nous, je parle d'écriture dans un sens trés large, de la tv à la presse, comme d'une manière de retranscrire, d'écrire la réalité.

Chez les journalistes, le travail d'écriture s'apprend méthodiquement dans des écoles spécialisées et il en résulte bien souvent une uniformisation désolante. "L'objectivité", grand fantasme du journaliste au XXIe siècle, évince les adjectifs, superlatifs et autres marques de pathos pour laisser place à un récit froid et stérile, comme en produit si bien l'AFP. Le style journalistique sera bientôt aussi codé que l'écriture informatique : d'abord un chapô, puis un surtitre et une petite mise en exergue, l'info principale sur les deux premières lignes, etc... Non pas que certains standards ne soient pas importants, et qu'ils n'existent aucun code ou balisage à respecter dans l'expression. Mais bon, un peu de liberté dans le langage ne fait jamais de mal, et puis quel plaisir quand même de jouer avec les mots (autrement que pour écrire des "titres-choc" ndlr).

L'article le plus célèbre dans l'histoire de la presse française est sans doute "J'accuse" de Zola : il fut écrit par un romancier. Le style dans l'écriture, la recherche dans l'expression est primordiale. Certes, il existe aujourd'hui une réelle démarche qui consiste grosso modo à surencherir pour "être percutant". Le hic est qu'à ce petit jeu, on tombe rapidement dans le racollage et l'effet d'annonce, et l'info est reléguée loin derrière, en toile de fond.

Tout se passe comme si la "classe" journalistique ne prenait pas la mesure du poids des mots et de leur importance réelle. Le langage n'est pas (l'a-t-il seulement été ?) un sujet central dans les rédactions. L'urgence du scoop laisse, à vrai dire, peu de place à un réel travail d'écriture. On l'abandonne volontiers à quelques écrivains, chercheurs en sciences humaines ou psychanalystes grisonnants.

Or, le marketing politique actuel a su faire du mot une de ces plus grandes armes. Pour cibler, écarter ou au contraire flouter les débats, pour incriminer et se disculper, pas mieux qu'un mot-concept politicien. Du "karcher" au "vaccin citoyen", on sait comment blesser ou arrondir les angles, comment faire mal à certains et peur à d'autres.

Même les éditoriaux semblent se ressembler tous, copier/coller de concepts politiques façonnés dans un langage vide de sens. Des "banlieues" au "pouvoir d'achat", de l"islamisme" à la "croissance". Qui peut encore me dire de quoi nous parlons ? Il serai grand temps que ces messieurs de la PQF cessent de lire uniquement des dêpèches et les livres écrits par des communicants pour reprendre quelques grands classiques de la littérature.

Ecrire pour Internet
C'est sans doute un des grands interêts du format "blog" pour lire de l'information : le style d'écriture y est trés différent, plus réactif, plus léger et plus intime souvent. A vrai dire, la subjectivité reprend ses droits sur les blogs. Evidemment, il existe aussi une masse de contenu trés creux, fait d'avis et d'anecdotes pas toujours intéressantes. Néanmoins, on retrouve dans le ton de beaucoup de bloggers celui du chroniqueur. L'idée que raconter c'est s'approprier, avant même de transmettre quelque information que ce soit.

Le travail autour de l'écriture multimedia et l'hypertexte promet également une vraie dynamique de réflexion autour de l'écriture journalistique. Pourquoi mettre une photo plutôt qu'une vidéo ? Ce lien au milieu de mon article ne va-t-il pas en couper la lecture ? Quelle identité sonore pour un media musical ? Les mediums à disposition sont multiples, chacun possédant sa grammaire propre. Reste à écrire une grammaire du multimedia...

A mon avis, et sans parler de liberté d'expression, l'arrivée d'un support comme Internet est salutaire pour cela : un art de renouveller des pratiques sclérosées.

Telephonie mobile et Internet : un best of

mardi 12 février 2008

L'Internet mobile est sur toutes les lèvres, je vais donc essayer de faire un (petit) bilan des technologies -et des coûts si possible- qui permettent aujourd'hui de faire le lien entre les technologies du Web et les téléphones cellulaires.

Le constat de départ est que l'accés à Internet par l'ordinateur reste encore un grand luxe dans beaucoup de pays, au contraire des réseaux de téléphonie qui se dévellopent rapidement. Ainsi, pour permettre à des gens qui n'ont pas l'accés à une connexion Internet de s'exprimer sur la Toile, la téléphonie semble être le moyen le plus adapté, tant par le coût assez modeste que par sa facilité d'utilisation.

Cet article sera sujet à modification et l'idée est plus de regrouper le max d'infos plutot que de faire une étude trés poussée (je ne suis pas une boite du consulting héhé). N'hésitez pas à poster en comments toutes les infos complémentaires, je mettrai à jour l'article.

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PLAN

Introduction

1. Du Web vers la téléphonie
1.1. Consulter un site sur son téléphone
1.2. Envoyer des SMS depuis le Web

2. Téléphoner par Internet
2.1. La voIP
2.2. Téléphones voIP

3. De la téléphonie au Web
3.1. Le microblog
3.2. Poster un SMS sur son site
3.3. Podcast depuis une ligne téléphonique
3.4. Géolocalisation et téléphonie mobile
3.5. Autres technologies (en vrac)


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Introduction

Tout d'abord, un peu de vocabulaire pour s'y retrouver.

GSM : Le réseau GSM Global System for Mobile communications constitue au début du 21ème siècle le standard de téléphonie mobile le plus utilisé en Europe. (...)

Gateway : Un "gateway" est une passerelle qui permet de faire le lien entre deux protocoles réseaux différents. La technologie SMS Gateway, permet d'envoyer/recevoir des SMS depuis des dispositifs du protocole TCP/IP (les sites Internet, clients mail, etc...). C'est cette technologie qu'utilise les sites de "sms gratuits", les télés pour leurs SMS qui défilent en bas de l'écran, etc...

WAP : Le Wireless Application Protocol (wap) est un protocole de communication dont le but est de permettre d'accéder à Internet à l'aide d'un terminal mobile (par exemple un téléphone portable, un PDA...). (...)


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1. Du Web vers la téléphonie

1.1. Consulter un site sur son téléphone
Les services qui permettent d'accéder au contenu de sites Web, type Wap ou 3G restent encore trés chers mais tendent à se dévelloper en Occident. On le voit bien avec l'arrivée des smartphones de nouvelle génération type Apple iPhone qui deviennent de véritable unité centrale portable. L'agence de presse Reuters a même équipé ces journalistes de téléphones Nokia N958g, qui sont à la fois des outils de capture (audio, video, photo) et de transmission (réseau téléphone et sattelite). Mais les appareils possédant la capacité d'afficher des sites Web restent encore trés chers.

Autre problème, il n'existe actuellement aucune norme d'affichage pour la résolution de téléphone. Ainsi, pour qu'un site Web soit conforme à l'affichage sur écran de téléphone, c'est la croix et la bannière (il faut le tester sur chaque modèle !!). Autant dire que l'adpatation de la navigation Web vers téléphone a de beaux jours devant elle (un marché juteux diront certains).

Vous trouverez ici un émulateur pour tester l'affichage sur des téléphones.
Voici la version du navigateur Opera pour mobile pour tester votre site.
Les premiers screenshots de Firefox Mobile.

NB : Le mouvement Open Source et son incorrigible habitude à bidouiller et hacker toutes sortes de technologies nouvelles, s'est emparé trés tôt de la téléphonie mobile : OpenMoko est le premier système d'exploitation Linux commercialisé pour la téléphonie mobile.
Dans le corporate, c'le géant Google travaille sur Android, son projet de système pour telephone, opensource aussi.

Le site Mobispirit propose une suite d'applications pour créer, diffuser, publier des photo/vidéos MMS et des SMS. Le service semble plutôt correct (mais les prix SMS sont chers) : création de galleries, systèmes d'alertes, newsletter... Les fonctionnalités sont essentiellement conçus pour le marketing mobile mais l'AFP vient de s'y associer pour sa version mobile.

1.2. Envoyer des SMS depuis le Web

Il existe de trés nombreux sites permettant d'envoyer des SMS vers des téléphones. En fait, il s'agit d'entreprises possédant un gateway SMS duquel vous louer une partie.

Il existe des services payants type SMSbox qui permet les envois groupés (type mailing list de phones) vers plus de 160 pays, et ce pour en moyenne 1 cents d'euros par SMS. Quelques-uns proposent des services gratuits comme SMSCity (vers l'international aussi).
En Inde, le SMS commence à être dévellopé avec la croissance trés rapide du nombre de telephones. Voila une page pour envoyer des SMS gratuitement en Inde ou dans le monde entier.
un autre site
un site russe
il y en a vraiment beaucoup comme ça, offrant différentes possibilités et options plus ou mois chères (plus ou moins payantes en fait).

Certaines entreprises comme SMSgo vous propose des API programmés pour leur Gateway. autrement dit, cela permet d'intégrer l'envoi de SMS dans l'interface de votre site (ici vers plus de 140 pays). La celebre plateforme de blog Wordpress propose un plugin QuickSMS qui s'ajoute à la barre de menu et permet d'envoyer directement un SMS à l'auteur du blog.

Vous pouvez également utiliser le protocole SMTP, celui utilisé pour l'envoi de courrier électronique. Cela vous permet d'envoyer des sms depuis un client mail type Outlook. Il vous suffit pour cela d'envoyer votre texte via le SMTP d'un opérateur.
ex : mon_numero@orange.net

A propos du MMS
Le MMS, Multimedia Message Service, permet de transmettre du contenu multimédia (audio, photo, video) via le réseau GSM, donc depuis un téléphone. Ils utilisent le Wap et sont donc souvent consultables directement sur Internet. Pour les téléphones n'étant pas équipé d'écrans, les opérateurs envoie une URL et un login pour consulter le MMS sur le Web. Sa forme est assez similaire à celle d'un email. Le MMS est écrit en langage SMIL (un XML modifié), avec un fichier-joint qui est le contenu multimedia à proprement parlé.
Aujourd'hui, Le MMS reste encore cher.
chez Bouygues, 30 cents pour un fichier de moins de 50 kO.
chez SFR, on est à 31 cents pour 300 kO.

NB : pour les prix sur le marché africain, l'étude de marché coute plus de 1000 $US !!

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2. Téléphoner par Internet


2.1. La voIP

La voIP signifie Voice over IP, c a d la voix passant via le protocole TCP/IP.
Elle peut être diffusée simplement de personne à personne (unicast), en mode conférence (broadcast) ou en discussion à plusieurs (multicast).

La voIP permet des coûts trés peu élevés : les meilleurs exemples pour les appels à l'international sont Free, Neuf/Cegetel ou Wanadoo avec les telephones ADSL.

Il existe de trés nombreux logiciels de voIP, le plus connu étant Skype qui dispose de ses propres tarifs et fonctionnalités. SkypeOut permet d'appeler mobiles et fixes depuis l'ordinateur, pour un prix réduit.


2.2. Téléphones voIP

Des téléphones voIP commencent à être commercialisé et permettent de téléphoner en utilisant la technologie voIP depuis une borne wifi. On peut donc téléphoner à l'international aux prix (bas) de la voIP.

Actuellement, la guerre fait rage à propos de la commercialisation des téléphones hybrides GSM/voIP. En effet, les puissants opérateurs (businessmen ndlr) ne veulent pas voir les factures de leurs clients (leur pactole ndlr) baisser grace à la voIP. On aura surement accés à cette technologie le jour où ils auront le monople d'Internet wifi aussi !

Il existe des possibilités de communiquer via les messageries IRC classiques (msn, yahoo, google talk, etc...) entre téléphones mobiles. Le logiciel Nimbuzz notamment permet, une fois installé sur le téléphone, d'utiliser toutes ces technologies. Néanmoins, là-aussi la connexion doit se faire par le réseau Internet (donc Wap). Les prix de la communication sont beaucoup plus élevés que le SMS.

L'Internaute réalise une bonne étude des prix et des offres d'Internet mobile sur le marché français.

Une bonne nouvelle de dernière minute, les prix devraient baisser :
"Les tarifs itinérants de l'Internet mobile et des SMS dans le collimateur européen
Les instances européennes préféreraient ne pas avoir à s'en mêler, mais si rien ne bouge, il y aura régulation, comme pour les appels vocaux. C'est le discours qu'a tenu Viviane Reding, la commissaire européenne en charge de la société de l'information, aux opérateurs de téléphonie mobile, en ouverture du salon Mobile World Congress (ex-3GSM) de Barcelone.
"
d'aprés Yahoo News du 12 Février 2008

Le roaming est "l'itinérance", facteur trés important de la norme GSM, qui doit permettre d'être appelé partout. Ce discours est la conséquence de la volonté de convergence vers un marché unique européen, et sa conséquence, un espace d'info commun.

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3. De la téléphonie au Web


Rentrons maintenant dans le vif du sujet, c'est à dire la communication avec un site Internet depuis un téléphone cellulaire.

3.1. Le microblog

Le microblog, encore un nom à coucher dehors.
Simplement, il s'agit de poster des infos depuis un téléphone portable. Le site le plus connu est Twitter, qui permet d'informer vos amis que vous mangez une soupe ou que vous allez prendre le train (merveilleux, isn't it?). Autrement dit, il fonctionne comme un chat communautaire depuis votre téléphone.

Le site français Bloggino n'est pas si mal : il permet de poster depuis SMS, mails, Messenger, etc... il permet de créer des salons privés pour de l'échange d'info.

Voici une de premières applications de microblog openSource en php, qui gagnerai à être couplé à un Gateway pour accepter le SMS (ce n'est pas le cas pour le moment).

On peut aussi utiliser Twitter pour créer un système d'alertes téléphoniques
pour

3.2. Poster un SMS sur son site

Tout d'abord, il est bien plus difficile de trouver une solution SMS > Web que d'envoyer un texto depuis un site Web... Néanmoins, il existe plusieurs solutions.
  • Récupérer les SMS sur un ordi depuis un téléphone
Problème : rien n'est automatisé pour la mise en ligne.
Avantage : pas besoin de connexion Internet.

Le logiciel SMS Gateway pour Windows et Linux permet de brancher un portable sur un ordi et donc de transférer les SMS. Plusieurs problèmes : la technologie de ce soft est vieille et plus mis à jour depuis longtemps maintenant.
Sous Ubuntu/Linux, le logiciel Wammu synchronise le telephone et l'ordi par USB.

Sinon il existe des logiciels comme Device Seizure qui sert à récupérer toutes les données d'un PDA ou téléphone (coût 895€, 1 mois d'essai gratuit). Il existe aussi BluePhoneElite, pour Mac, pour récupérer via le Bluetooth les infos SIM (prix du soft 25$).

  • Récupérer les SMS depuis un lecteur de carte SIM
Problème : rien n'est automatisé, vous devez vous procurer un lecteur de carte SIM (15€ en USB), vous ne pouvez récupérer que les SMS stockés dans la SIM, pas dans le tel.
Avantage : pas besoin de connexion Internet

Le logiciel GSM SIM Utility vous permet de récupérer toutes les infos contenues dans une carte SIM. Il est gratuit et fonctionne avec Windows.

  • Utiliser des services Web pour transférer les SMS
Problème : pas d'automatisation non plus.

Des sites comme Treasuremytext permettent de sauvegarder un ensemble de SMS en les envoyant sur le site, puis de les organiser et de les publier en ligne. La version beta est en cours de dev mais le problème reste entier puisque le numéro d'accés du site n'est accessible que depuis Europe et US/CND.

Orange propose un service de blog depuis SMS : "Envoyez un SMS au 25647 (B-L-O-G-S sur votre clavier) avec comme texte : POST (espace) votre article. Par exemple : POST belle journée aujourd?hui !" Bien sûr, cela ne marche que si vous postez sur la plateforme OrangeBlog (enfoiré!).

  • Créer un Gateway
Pour les mordus du dev et de Linux, voici un tutorial pour créer votre gateway avec un vieil ordi, un vieux téléphone et une carte sim aux SMS illimités. (bon courage !)

Vous pouvez aussi créer un central téléphonique local avec un ordinateur sur lequel vous aurez installé le système basé sur Linux, appelé Asterisk. Ce système permet de gérer un VAPX, c'est à dire un standard de téléphonie interne/externe, pour une entreprise par exemple, intégrant les systèmes de voIP notamment. On peut créer avec Asterisk un gateway, un centre d'appel, bref il s'agit d'une interface complète pour créer une passerelle vers la téléphonie /ordinateur /internet. Avec de la patience pour l'install, un téléphone ou un lecteur SIM et une simple carte SIM, vous pourrez recevoir vos SMS sur l'ordinateur directement.
Le plus important va être ensuite le choix de l'opérateur, selon le prix des sms le(s) pays concerné(s).



3.3. Podcast depuis une ligne téléphonique


Une bonne solution pour des reportages est le podcast (pod + broadcast). Concrètement, il s'agit de mp3 contenant de l'info, la plupart du temps une sorte de blog, mais en format audio.

Certains sites proposent de réaliser des podcasts mp3 à partir de lignes téléphoniques, c a d d'enregistrer votre coup de fil comme un répondeur, mais en format numérique. Ensuite, ce mp3 est mis en ligne et diffusé. Cette solution semble trés simple et peu couteuse, mais les serveurs sont pour la plupart loins, et le prix d'un appel devient vite un problème.

Les sites américains GCast, GabCast ou HipCast propose d'appeler un numéro (gratuit depuis les USA), puis grace à un identifiant numérique et un PIN, vous pouvez vous enregistrer et publier directement sur un site de votre choix.

Il existe le plugin Podmail pour Asterisk (voir 3.2 plus haut), qui permet de transférer le contenu du répondeur comme podcast.

Vous pouvez également enregistrer une conversation Skype. Avec SkypeIn, vous pouvez obtenir un numéro de téléphone classique pour votre compte Skype (50€/an). Ensuite, vous n'avez plus qu'à vous appeler et à laisser un message sur votre répondeur.


3.4. Géolocalisation et téléphonie mobile

la suite et fin de cette partie ajoutée le 20 fev. 2008

http://www.servicesmobiles.fr/services_mobiles/2008/02/contribuer-la-l.html
http://www.developershome.com/sms/


3.5. Autres technologies en vrac

  • La société Mobile Data Now vient de publier une application qui permet d'accéder à une base de données depuis un téléphone mobile. Si pour le moment l'application commerciale de ce genre de plateformes est reservée aux traders qui consultent l'état de leur stock, on peut imaginer la capacité d'organisation et de réactivité pour délivrer des infos importantes à des groupes de personnes.
  • Pingie, un soft qui convertit les RSS en SMS

Mediapart ou le journalisme parisien numérisé

samedi 2 février 2008

Je vous préviens, cet article est un brulot.
Non pas que le projet Mediapart soit la pire chose que j'ai vu, et un nouveau media indé est toujours le bienvenu, mais parce que :
1. L'ambiance, le public de cette petite cérémonie m'a vraiment écoeuré
2. Je suis un peu impulsif
3. J'en ai juste assez des journalistes "professionels". J'aimerai juste un peu moins de certitudes sur ce métier SVP

NB : Mediapart pourra garder son nom, et puis surtout j'attends de voir le contenu...


Boulevard St-Germain-des-Prés, dans le forum de la FNAC "Digitale".

Une cinquantaine de cinquantenaires assis sur des chaises pliantes, dont une quarantaine de journalistes parisiens et quelques étudiants d'écoles de journalisme.

Devant eux, confortablement installé dans de gros fauteuils, deux anciens du Monde, présente leur nouveau projet de site d'information micro à la main.

Les gens se regardent, se reconnaissent, se sourient. Entre complicité et concurence, c'est toute la corporation des journalistes de Paris qui s'est réuni pour célébrer la grande messe du passage à Internet. Ca sent la famille ici.
Je me demande vraiment ce que je fais là...

Les gens trépignent d'impatience, le speech commence, petits rires et boutades et même sérieux quand il le faut. Tout le monde se sent à l'aise. Le public est conquis, le projet Mediapart va vraiment révolutionner le paysage de l'information en France. C'est décidé, Internet va permettre de "sortir des logiques de pression commerciales et politiques". François Bonnet et Laurent Mauduit nous parlent avec gravité de la "crise de l'offre éditoriale" en France (Edwy Plenel n'a pas pu venir). Ils vont enfin pouvoir appliquer leurs "règles du jeu, celles de la presse de qualité".

L'audience oscille entre stupeur et ravissement (Internet, c'est le monde de demain!), entre indignation et révolte lorsqu'est évoqué la pauvreté éditoriale de la "grande" presse quotidienne française.

Seul sur ma chaise, je bouillonne à petit feu.

Les lieux communs défilent devant mes yeux ébahis par la suffisance de notre assemblée. Ceux là-même qui, chaque jour, écrivent pour cette presse si pauvre en idées regardent les hommes de Mediapart en héros. Internet : le salut du journalisme !

Je suis effaré de voir nos deux stars du journalisme nouvellement Internet versant presque une larme en évoquant la grande époque de Libération, aujourd'hui tombé cruellement aux mains du capital. Ces deux types-là étaient à la tête des rubriques politique et économie de Libé au début des 90's. Ce sont la démagogie et la molesse de leurs plumes, incapables de critiquer un PS devenu réactionnaire, qui ont éconduit une bonne part de leur lectorat et mené à la ruine un journal qui se portait trés bien à l'époque. Pour être grinçant, je pourrais dire que Rottschild a bénéficié de leur fantastique travail éditorial. Mais peut-être est-ce ma mauvaise foi.

La question du modèle économique est au coeur du débat.
Le site mediapart.com et son équipe seront entièrement financés par les abonnements. Pas de pub, c'est la liberté ! Au bout d'une heure de débat, on apprend que c'est pas de pub "pour le moment". En effet, il faut 1 million de visiteurs uniques pour qu'une pub Web rapporte, c'est donc inutile dès le lancement d'un site.

Objectif : 60 000 abonnés en 3 ans, les abonnements allant de 5 à 15 euros/mois. Un choix risqué mais qui a le mérite de ressituer le lectorat au centre du journal, en faisant le premier décisionnaire (c'est trés facile de se désabonner par Internet). Je vous passe les inepties du genre : "il n'y a pas encore de précédent dans l'Internet, c'est un business modèle entièrement nouveau." Rappelons que l'abonnement est le modèle natif du Web (forums et info payantes), bien avant que la pub ne s'y intéresse.

Les abonnés resteront donc 'maîtres' de ce nouveau site. Une partie importante du projet est liée à leur participation. L'équipe Mediapart n'a pas voulu en dire davantage, préférant se réserver l'exclu pour le jour de la mise en ligne du site. Espèrons qu'ils feront quand même mieux que le Post, ridicule site participatif du Monde au contenu si mauvais que le célèbre quotidien n'en revendique même pas la paternité explicitement. "La garantie du contenu de Mediapart, c'est votre participation", "recréer une relation citoyenne avec le lecteur", bref on ne nous dit absolument rien ni sur les processus d'évaluation et de modération, ni sur la liberté de publication qui sera laissé aux abonnés.

Quand à l'équipe elle-même, des journalistes de La Croix, L'Equipe, Le Monde, des étudiants du CFJ et quelques journalistes web (pas de nom de médias Web cités). Bref, on garde les mêmes et on recommence. Pas vraiment de quoi être optimiste coté ligne éditoriale. D'ailleurs, tout cela reste bien flou si ce n'est "on va vous donner la dizaine d'infos qui comptent (...) avec une véritable valeur ajoutée". Beaucoup d'enquêtes a priori et, ce qui m'a fait presque rire, "un regard neuf sur la banlieue". Ces messieurs avouent d'une voix grave à l'audience subjuguée avoir changé de regard sur les médias aprés les "évènements de Novembre 2005 en banlieue".

On nage en plein délire : Laurent Mauduit lui-même était éditorialiste au Monde pendant cette période. Je me dis que je lirai leur nouveau journal le jour où ils décideront d'installer leur rédaction quelque part entre Aulnay-sous-Bois et Goussainville.

Puis viennent les questions, aprés le brillant discours.
Ca commence par deux ou trois spécimens de l'audience, bien verbeux, qui s'évertuent à s'indigner de Bolloré ou de Sarkozy et finissent par se perdre dans les méandres de leur suffisance pour oublier qu'il devait poser une question.

Les monologues terminés, une étudiante se risque à la question: "Est-ce que Mediapart sortira de la connivence qui sclérose le journalisme actuellement ?" Assurément oui, nous assure-t-on, cela ne fait aucun doute. Néanmoins, je ne suis pas trés convaincu. Sur la page d'accueil du site mediapart.fr, on trouve en vrac les vidéos de soutien de Ségolène Royal, Kamini, Noël Mamere, François Hollande, François Bayrou, Michel Field et j'en passe. Bref, on présente un peu la famille.

On annonce la couleur tout de suite : Mediapart sera un nouveau théatre pour la contestation médiatique, où se produiront les acteurs bien-connus du show "anti-sarko", qui sert aujourd'hui d'alibi démocratique à notre président.

"Et quelle place sera laissé pour l'autocritique ?". Alors là, on a le droit à une réponse édifiante de Laurent Mauduit, qui passe brillament juste à coté de la question en attaquant sur la "critique des médias déja mis en place dans notre rubrique La presse en débat". On avait dit auto-critique...

Puis vient la question fatidique : "Internet, ce n'est pas de la communication par hasard ?". Oh le malheureux ! Que n'a-t-il pas dit ! Oui, Internet est essentiellement de la communication, mais pas Mediapart ! Bien au contraire, Mediapart déjoue les pièges de la crapule "communication", ceux du gouvernement et des grandes entreprises. Je souris malgré moi en les regardant déverser leur abjection sur ce grand méchant fantasme qu'est la "communication", et qui a bon dos décidemment.

En pleine promo dans leur fauteuils, avec la com comme seul espoir de survie pour leur média, ils préférent vanter la valeur de leur futur journal sur le seul gage de leur nom, plutôt que de publier leur première enquête. Communication ? Encore une fois de qui se moque-t-on, me dis-je.

Je décide donc de poser ma question au micro, essayant de pondérer la défiance que me suscite ces personnages qui semblent toujours si satisfaits d'eux-mêmes. Rien de politique, ma question porte sur le travail de l'écriture pour Internet, trés différent pour moi de celui du papier. Je remarque notamment qu'ils continuent à appeler un article "un papier", comme le veut le jargon du métier. Ce terme est somme toute assez inadapté quand on parle d'écran. Je précise que j'étudie actuellement la communication, histoire de mettre un peu d'huile sur le feu.

Alors là, je suis du pain béni pour eux et je me dis que j'ai été un peu con quand je les voit jubiler en me rembarrant. "Ce que vous voulez c'est deux lignes de textes noyés par de de belles guirlandes qui clignotent !", c'est encore un coup de "la culture du zapping" et voila tout. Je m'entends demander si je connais le New Yorker (ce serai bien étonnant tout de même), qui est un exemple et qui publie des papiers de 50 feuillets ! Les gens qui veulent lire tranquillement n'auront qu'à imprimer ! J'aurai voulu dire simplement que si on écrit pour être imprimé, alors pas la peine de se présenter comme un journal Web, mais on m'avait déja repris le micro.

La réflexion autour de l'écriture pour le multimédia, texte-image-photo-son-vidéo-interaction, c'est du gadget pour nerds en mal de scoop. Toutefois, la vidéo n'est pas trop mal, "on peut l'utiliser comme une preuve, et ça coupe un peu le papier". Voila pour ce qui est de l'écriture pour Internet. Pour ma part, je continue à penser qu'on ne lit pas du tout sur le papier comme sur un écran et qu'un véritable travail de réflexion sur l'écriture est à mener. C'est à la fois un passage obligé pour être lu sur le Net et une chance inespérée pour les journalistes de reconsidérer l'écriture elle-même comme une pratique créatrice de sens.

Sauf le respect, le style journalistique aujourd'hui est à peu prés aussi codé que l'est l'écriture de script informatique, et la plupart du temps aussi affligeant de stérilité. Tout ça au nom d'une soi-disant objectivité. Dans la société des Saintes Ecritures, on sait que tout a commencé par le verbe et on ne joue pas avec ça.

Enfin bref, la conférence se termine.

Je pars la dent acérée contre ce "grand journalisme parisien" incapable de la moindre autocritique, figé dans des postures de pouvoir qui seules le légitime, et au passage le discrédite un peu plus chaque jour. Derrière moi, on jubile d'auto-satisfaction. Les plumes 'victimes' du grand capital, pieds et poings liés dans les tribunes des quotidiens nationaux, congratulent les courageux qui prennent sur eux de créer du 'nouveau' en se lançant dans l'aventure Mediapart.

On est heureux de savoir que quelque chose va être fait.

La décadence peut continuer.



_Clément RENAUD
Journaliste Free Lance
Etudiant à Paris 8




Je dédierai ce dernier mot à Bakchich, journal salutaire s'il en est : merci les gars ! (1)

(1) Bakchich dont François Bonnet a dit pendant la conférence que "ce n'est pas parce qu'avec le Net n'importe qui peut écrire, qu'il faut croire que n'importe qui peut devenir journaliste." M. Bonnet, ce n'est pas parce qu'on a une carte de journaliste qu'on ne raconte pas n'importe quoi !

Contacts

mercredi 14 novembre 2007

Hésitez surtout pas à me contacter :

clement.renaud@gmail.com

Assignment Zero ou le journalisme collaboratif façon Wired

vendredi 9 novembre 2007

En Janvier dernier, Jay Rosen - professeur de journalisme à l'Université de NYC - décide de lancer en collaboration avec le célèbre magazine Wired le projet Assignment Zero. Il s'agit pour eux d'explorer le "citizen journalism" en mettant en place un site web de collaboration pour la réalisation de contenu journalistique : interviews,reportages...


Illustration: James Jean



Pendant 12 semaines le projet est ouvert au public. Les internautes peuvent se connecter et accéder au Desk, dans lequel se trouve présenté les différentes tâches à effectuer. Ici, c'est toute une rédaction qui est reconstitué et chacun est libre de choisir sa fonction selon son désir. Plusieurs sujets sont ouverts et chacun vient apporter sa contribution autour du sujet. Une fois les douze semaines écoulées, le contenu produit par les internautes est mis en forme, trié par la rédaction de Wired ainsi que les contributeurs les plus actifs du site et publié périodiquement sur le site de Wired.

Dans un article daté du 16 juillet 2007, James Jean (un des membres trés actif) dresse un bilan de cette expérience inédite. En effet, comme dans toutes les innovations du web 2, impossible de savoir à l'avance comment va se dérouler l'histoire, le scénario est écrit par l'usage.

“It’s like throwing a party. You(...)mix the punch, dim the lights and at 8 o’clock people show up. And then who knows what is going to happen?”Lauren Sandler, Assignment Zero editor, to New York Times reporter David Carr (d'aprés l'article en question)

Pour eux, le projet Assignment Zero a été plutot un échec. Rosen dira même que "seulement 28% du projet a fonctionné". Je vais essayer de résumer ici les quelques conclusions que tire Jeff Howe de ce semi-échec, qui est avant tout un des premiers essais en la matière.

INTERFACE : Les gens en arrivant sur le site étaient plutôt perdus et la plupart sont vite partis.
  • La possibilité d'avoir accés à une personne référente par topic a plutôt résolu le problème. En haut des pages, ils ont ajouté nom, photo et fiche du coordinateur (editor) du topic.
  • Ce qui importe vraiment est de d'exprimer clairement la demande, ce qu'on attend des contributeurs.

Du côté de l'ORGANISATION
  • Le plus important pour diriger un site comme celui-là est d'avoir des editors qui connaissent l'organisation du travail en ligne. Des journalistes trés compétents se sont trouvés complètement débordés car il ne connaissait pas le mode de production de l'open source.
  • Un calendrier est trés important pour la gestion des projets au sein de la communauté, comprenant des dates de clotûre des topics, des dates de mise en ligne de tel autre, etc...
  • L'essentiel, c'est la communauté. Le respect des contributeurs, la reconnaissance de leurs opinions et des sujets qu'ils souhaitent traiter est la clé de la réussite de ce genre de projet.
  • Un leadership est indispensable pour préserver l'activité, la cohérence et la cohésion de la communauté, spécialement si tous partagent la possibilité de gagner de l'argent.

D'aprés l'article Did Assignment Zero Fail? A Look Back, and Lessons Learned



Un petit screenshot de l'interface pour finir



dévellopée avec le CMS Drupal (voir le post précédent)